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L’un est un style de danse né dans les années 2000 dans les quartiers chauds de Los Angeles, très expressif, comme expulsant la violence intérieure dans un geste cathartique, popularisé à l’international par le documentaire Rize de David LaChapelle en 2005. L’autre est une pièce écrite en 1937, la symphonie la plus jouée et la plus enregistrée de Dmitri Chostakovitch, à la forte tension émotionnelle, par laquelle le compositeur russe regagna les faveurs de Staline, alors que sa musique avait été interdite sur toutes les scènes de l’Union soviétique.
L’un et l’autre se rencontrent en une fusion explosive dans Revolta. La danse urbaine des ghettos épouse la musique dite « savante ». Sur scène, Grichka, Melissa, Dexter et la Belge Hendrickx, quatre danseurs de krump (acronyme de Kingdom Radically Uplifted Mighty Praise, « élévation du royaume par le puissant éloge »), se mêlent aux musiciens du Geneva Camerata. Les instrumentistes n’ont cette fois ni pupitre ni siège mais jouent le plus possible debout et prennent part à la chorégraphie « orchestrée » à la fois par Kader Attou (voir aussi le spectacle Le Murmure des songes), Grichka et leur chef d’orchestre David Greislammer. Quant aux danseurs, ils sortent du hip-hop pour accorder leurs mouvements à une vraie symphonie.
Du rapprochement de ces deux univers a priori radicalement opposés se dégage une incroyable énergie, dans une proposition scénique qui est à la fois un concert classique comme on n’en a quasiment jamais vu et un spectacle de danse à la force musicale inouïe.
07. Juin
L’un est un style de danse né dans les années 2000 dans les quartiers chauds de Los Angeles, très expressif, comme expulsant la violence intérieure dans un geste cathartique, popularisé à l’international par le documentaire Rize de David LaChapelle en 2005. L’autre est une pièce écrite en 1937, la symphonie la plus jouée et la plus enregistrée de Dmitri Chostakovitch, à la forte tension émotionnelle, par laquelle le compositeur russe regagna les faveurs de Staline, alors que sa musique avait été interdite sur toutes les scènes de l’Union soviétique.
L’un et l’autre se rencontrent en une fusion explosive dans Revolta. La danse urbaine des ghettos épouse la musique dite « savante ». Sur scène, Grichka, Melissa, Dexter et la Belge Hendrickx, quatre danseurs de krump (acronyme de Kingdom Radically Uplifted Mighty Praise, « élévation du royaume par le puissant éloge »), se mêlent aux musiciens du Geneva Camerata. Les instrumentistes n’ont cette fois ni pupitre ni siège mais jouent le plus possible debout et prennent part à la chorégraphie « orchestrée » à la fois par Kader Attou (voir aussi le spectacle Le Murmure des songes), Grichka et leur chef d’orchestre David Greislammer. Quant aux danseurs, ils sortent du hip-hop pour accorder leurs mouvements à une vraie symphonie.
Du rapprochement de ces deux univers a priori radicalement opposés se dégage une incroyable énergie, dans une proposition scénique qui est à la fois un concert classique comme on n’en a quasiment jamais vu et un spectacle de danse à la force musicale inouïe.
Avec "REvolution 2349", la danseuse Danielle Allouma et le chorégraphe Arco Renz avaient ouvert le champ des possibles autour de la note "Ré" et de sa fréquence de 2349,32 Hz.
Pendant une heure, de circonvolutions en circonvolutions autour d'un point fixe, cette performance spectaculaire transformait nos perceptions sensorielles et nos imaginaires hypnotisés.
Cette fois, avec REbis 7 (titre provisoire), deuxième volet d'une trilogie, ils continuent leur recherche sur le corps en rotation. Une figure spirituelle et androgyne se confronte à la symbolique du chiffre 7.
Mélangeant musique, danse et chromatisme à des costumes et des sculptures insolites, cette nouvelle performance viscérale est un hommage à la métamorphose, à l'émancipation des schémas binaires habituels.
06. Juin - 07. Juin
Avec "REvolution 2349", la danseuse Danielle Allouma et le chorégraphe Arco Renz avaient ouvert le champ des possibles autour de la note "Ré" et de sa fréquence de 2349,32 Hz.
Pendant une heure, de circonvolutions en circonvolutions autour d'un point fixe, cette performance spectaculaire transformait nos perceptions sensorielles et nos imaginaires hypnotisés.
Cette fois, avec REbis 7 (titre provisoire), deuxième volet d'une trilogie, ils continuent leur recherche sur le corps en rotation. Une figure spirituelle et androgyne se confronte à la symbolique du chiffre 7.
Mélangeant musique, danse et chromatisme à des costumes et des sculptures insolites, cette nouvelle performance viscérale est un hommage à la métamorphose, à l'émancipation des schémas binaires habituels.
À partir de ce souvenir intime et poétique partagé avec son père, Guilhem Chatir nous immerge dans les projections et les fantasmes nés au creux de cette voix. Il décline, avec ses partenaires Karima El Amrani et Bilal El Had, les rituels d’endormissement qui accompagnent le glissement vers le sommeil. À mi-chemin entre douceur infinie et intranquillité vertigineuse, entre réalité tangible et imaginaire évanescent, les interprètes déploient une matière physique hypnotique, marquée par le chaos et l’instable. Dans un dispositif circulaire, ils rejouent ensemble cet état de bascule, d’entre-deux mondes : des danses inspirées par une richesse complexe des origines et par des images qui se révèlent puis disparaissent, évoquent, puis se consument à l’infini.
06. Juin - 07. Juin
À partir de ce souvenir intime et poétique partagé avec son père, Guilhem Chatir nous immerge dans les projections et les fantasmes nés au creux de cette voix. Il décline, avec ses partenaires Karima El Amrani et Bilal El Had, les rituels d’endormissement qui accompagnent le glissement vers le sommeil. À mi-chemin entre douceur infinie et intranquillité vertigineuse, entre réalité tangible et imaginaire évanescent, les interprètes déploient une matière physique hypnotique, marquée par le chaos et l’instable. Dans un dispositif circulaire, ils rejouent ensemble cet état de bascule, d’entre-deux mondes : des danses inspirées par une richesse complexe des origines et par des images qui se révèlent puis disparaissent, évoquent, puis se consument à l’infini.
De superflue à irritante, telle fut souvent considérée la voix féminine, de l'Antiquité grecque à nos jours. C'est ce qu'affirme Anne Carson dans son essai "The Gender of Sound" (1992). Elle y explique comment la culture patriarcale a cherché à réduire les femmes au silence en associant idéologiquement le son féminin à la monstruosité, au désordre et à la mort.
Jan Martens s'est inspiré du travail de Carson pour créer sa nouvelle performance VOICE NOISE. Plusieurs voix féminines novatrices, inconnues et/ou oubliées des cent dernières années de l'histoire de la musique sont ici mises en scène. Ce faisant, il franchit une nouvelle étape dans ses aspirations à façonner des modèles alternatifs.
Après avoir travaillé avec de grands groupes dans ses récentes productions - any attempt will end in crushed bodies and shattered bones en FUTUR PROCHE - Jan Martens revient à une production pour un petit ensemble de six danseur·euses. Iels sont confronté·es à des enregistrements où la voix humaine peut être entendue sous toutes sortes de formes : bourdonnante, apaisante, criarde, chuchotante, chantante. Peu à peu, iels découvrent leur propre voix.
11. Juin
De superflue à irritante, telle fut souvent considérée la voix féminine, de l'Antiquité grecque à nos jours. C'est ce qu'affirme Anne Carson dans son essai "The Gender of Sound" (1992). Elle y explique comment la culture patriarcale a cherché à réduire les femmes au silence en associant idéologiquement le son féminin à la monstruosité, au désordre et à la mort.
Jan Martens s'est inspiré du travail de Carson pour créer sa nouvelle performance VOICE NOISE. Plusieurs voix féminines novatrices, inconnues et/ou oubliées des cent dernières années de l'histoire de la musique sont ici mises en scène. Ce faisant, il franchit une nouvelle étape dans ses aspirations à façonner des modèles alternatifs.
Après avoir travaillé avec de grands groupes dans ses récentes productions - any attempt will end in crushed bodies and shattered bones en FUTUR PROCHE - Jan Martens revient à une production pour un petit ensemble de six danseur·euses. Iels sont confronté·es à des enregistrements où la voix humaine peut être entendue sous toutes sortes de formes : bourdonnante, apaisante, criarde, chuchotante, chantante. Peu à peu, iels découvrent leur propre voix.
'Inutile.' Ou encore plus crûment : « Bruit irritant ». C’est ainsi que la voix féminine a souvent été perçue, de la Grèce antique à nos jours.
Voice Noise s'inspire de l'essai d'Anne Carson, The Gender of Sound (1992), dans lequel elle expose comment la culture patriarcale a tenté de faire taire les femmes en associant idéologiquement le son féminin à la monstruosité, au désordre et à la mort.
Dans Voice Noise, des voix féminines innovantes, méconnues et/ou oubliées des cent dernières années de l'histoire de la musique sont mises en scène. Avec cela, Jan Martens franchit une nouvelle étape dans sa quête de l’élaboration d’un canon alternatif.
Six danseurs se confrontent à des enregistrements dans lesquels la voix humaine peut s'entendre sous toutes sortes de formes : fredonnant, apaisante, hurlante, chuchotante, chantante. Ils découvrent progressivement leur propre voix.
Après avoir travaillé avec de grands groupes dans ses récentes productions " Toute tentative se terminera par des corps écrasés et des os brisés" et "Futur Proche", Jan Martens revient à une production pour un petit ensemble de six danseurs. Il travaille avec des danseurs qui l'ont déjà inspiré (Steven Michel, Courtney May Robertson et Loeka Willems) et invite de nouveaux visages (Sue-Yeon Youn, Elisha Mercelina et Mamadou Wagué).
L'obsession de Jan Martens pour les chiffres, la géométrie et les motifs rencontre le langage physique unique de ses interprètes, conduisant à un nouvel intérêt pour la danse elle-même, dans les détails et la subtilité, dans la redéfinition de la grâce et de l'élégance.
11. Juin
'Inutile.' Ou encore plus crûment : « Bruit irritant ». C’est ainsi que la voix féminine a souvent été perçue, de la Grèce antique à nos jours.
Voice Noise s'inspire de l'essai d'Anne Carson, The Gender of Sound (1992), dans lequel elle expose comment la culture patriarcale a tenté de faire taire les femmes en associant idéologiquement le son féminin à la monstruosité, au désordre et à la mort.
Dans Voice Noise, des voix féminines innovantes, méconnues et/ou oubliées des cent dernières années de l'histoire de la musique sont mises en scène. Avec cela, Jan Martens franchit une nouvelle étape dans sa quête de l’élaboration d’un canon alternatif.
Six danseurs se confrontent à des enregistrements dans lesquels la voix humaine peut s'entendre sous toutes sortes de formes : fredonnant, apaisante, hurlante, chuchotante, chantante. Ils découvrent progressivement leur propre voix.
Après avoir travaillé avec de grands groupes dans ses récentes productions " Toute tentative se terminera par des corps écrasés et des os brisés" et "Futur Proche", Jan Martens revient à une production pour un petit ensemble de six danseurs. Il travaille avec des danseurs qui l'ont déjà inspiré (Steven Michel, Courtney May Robertson et Loeka Willems) et invite de nouveaux visages (Sue-Yeon Youn, Elisha Mercelina et Mamadou Wagué).
L'obsession de Jan Martens pour les chiffres, la géométrie et les motifs rencontre le langage physique unique de ses interprètes, conduisant à un nouvel intérêt pour la danse elle-même, dans les détails et la subtilité, dans la redéfinition de la grâce et de l'élégance.
Badke(remix) est un remaniement du spectacle de danse mettant en scène dix danseurs palestiniens, qui a tourné dans le monde entier entre 2013 et 2016 et est le fruit d’une création de Koen Augustijnen, Rosalba Torres et Hildegard De Vuyst. D'un point de vue culturel et politique, ce remix s'inscrit dans des circonstances exceptionnelles. Aujourd'hui, le rapport de force a changé. Ce répertoire se retrouve entre les mains des Palestiniens, notamment celles d'Ata Khattab et d'Amir Sabra, qui se le réapproprient et le réécrivent dans l'urgence de la guerre à Gaza. Badke(remix) exalte la joie de vivre et la danse comme forme de résistance.
11. Juin - 12. Juin
Badke(remix) est un remaniement du spectacle de danse mettant en scène dix danseurs palestiniens, qui a tourné dans le monde entier entre 2013 et 2016 et est le fruit d’une création de Koen Augustijnen, Rosalba Torres et Hildegard De Vuyst. D'un point de vue culturel et politique, ce remix s'inscrit dans des circonstances exceptionnelles. Aujourd'hui, le rapport de force a changé. Ce répertoire se retrouve entre les mains des Palestiniens, notamment celles d'Ata Khattab et d'Amir Sabra, qui se le réapproprient et le réécrivent dans l'urgence de la guerre à Gaza. Badke(remix) exalte la joie de vivre et la danse comme forme de résistance.
Alessandro Bernardeschi et Mauro Paccagnella enrôlent Carlotta Sagna pour offrir à leur délicieuse "Trilogie de la mémoire" un épilogue tendre et drôle, où s'impriment les traces du temps, l'usure des corps, la joie inusable de partager la scène.
Complicité, fragilité, ténacité: voilà les ingrédients du nouveau cocktail concocté par Wooshing Machine. En guise d'épilogue à la Trilogie dite "des quinquagénaires" – entamée en 2015 avec l'impérissable Happy Hour –, Ma l'amor mio non muore / Épilogue (Mais mon amour ne meurt pas) se constelle à son tour de références littéraires, cinématographiques, historiques, populaires. Et bien sûr musicales: la dramaturgie emprunte ici volontiers les sentiers éclectiques de la bande-son.
On s'y jette des fleurs et parfois davantage; perruques et plumes coiffent régulièrement le trio qui, lui, décoiffe consciencieusement les conventions. Pour autant, la rigueur demeure, que l'âge patine tendrement. Des maladresses et des douleurs s'invitent dans la danse. L'amitié et l'humour en fers de lance, le temps qui passe en guise de pâte à modeler, les trois corps entêtés comme proues de cette embarcation marquée par les luttes, les espoirs, les blessures et les élans de l'équipage.
13. Juin - 14. Juin
Alessandro Bernardeschi et Mauro Paccagnella enrôlent Carlotta Sagna pour offrir à leur délicieuse "Trilogie de la mémoire" un épilogue tendre et drôle, où s'impriment les traces du temps, l'usure des corps, la joie inusable de partager la scène.
Complicité, fragilité, ténacité: voilà les ingrédients du nouveau cocktail concocté par Wooshing Machine. En guise d'épilogue à la Trilogie dite "des quinquagénaires" – entamée en 2015 avec l'impérissable Happy Hour –, Ma l'amor mio non muore / Épilogue (Mais mon amour ne meurt pas) se constelle à son tour de références littéraires, cinématographiques, historiques, populaires. Et bien sûr musicales: la dramaturgie emprunte ici volontiers les sentiers éclectiques de la bande-son.
On s'y jette des fleurs et parfois davantage; perruques et plumes coiffent régulièrement le trio qui, lui, décoiffe consciencieusement les conventions. Pour autant, la rigueur demeure, que l'âge patine tendrement. Des maladresses et des douleurs s'invitent dans la danse. L'amitié et l'humour en fers de lance, le temps qui passe en guise de pâte à modeler, les trois corps entêtés comme proues de cette embarcation marquée par les luttes, les espoirs, les blessures et les élans de l'équipage.
Dans un double programme d'exception, la Dresden Frankfurt Dance Company sous la direction de Ioannis Mandafounis – un ancien danseur fortement influencé par William Forsythe – présente deux œuvres dignes d'intérêt. Forsythe, figure clé du renouveau du ballet classique, prolonge sa pratique gestuelle radicale dans une nouvelle création. Un nouveau spectacle de Forsythe est un événement rare, à ne pas rater. La pièce marque la rencontre entre la vision artistique actuelle de la compagnie et ses origines, s'appuyant sur les méthodes d'improvisation de Forsythe.
La seconde pièce de la soirée, Lisa de Ioannis Mandafounis, expérimente avec la « chorégraphie en direct ». Les danseurs entrent spontanément en scène et la quittent à leur guise, accompagnés par la poésie d'Osip Mandelshtam et la musique de Gabriel Fauré. De cette approche découlent nombre de moments inattendus en scène, soulignés par les costumes historiques des années 30 et par des textes en plusieurs langues, dessinant plusieurs lignes narratives.
13. Juin - 15. Juin
Dans un double programme d'exception, la Dresden Frankfurt Dance Company sous la direction de Ioannis Mandafounis – un ancien danseur fortement influencé par William Forsythe – présente deux œuvres dignes d'intérêt. Forsythe, figure clé du renouveau du ballet classique, prolonge sa pratique gestuelle radicale dans une nouvelle création. Un nouveau spectacle de Forsythe est un événement rare, à ne pas rater. La pièce marque la rencontre entre la vision artistique actuelle de la compagnie et ses origines, s'appuyant sur les méthodes d'improvisation de Forsythe.
La seconde pièce de la soirée, Lisa de Ioannis Mandafounis, expérimente avec la « chorégraphie en direct ». Les danseurs entrent spontanément en scène et la quittent à leur guise, accompagnés par la poésie d'Osip Mandelshtam et la musique de Gabriel Fauré. De cette approche découlent nombre de moments inattendus en scène, soulignés par les costumes historiques des années 30 et par des textes en plusieurs langues, dessinant plusieurs lignes narratives.
Des chansons puissantes de Brel chorégraphiés
Anne Teresa De Keersmaeker crée et danse un duo avec le jeune talent Solal Mariotte. Poussés par un intérêt commun pour la chanson, ils s’intéressent, pour cette nouvelle création, aux mélodies, aux ambiances, à la narration et aux mouvements qui caractérisent ce genre musical. En 2002, De Keersmaeker avait créé son deuxième solo de danse, Once, sur une musique de la chanteuse folk américaine Joan Baéz. Dans Creation 2025, elle donne suite à ce parcours, en explorant avec Mariotte le potentiel et les défis des chansons chorégraphiés, celles de Jacques Brel !
18. Juin
Des chansons puissantes de Brel chorégraphiés
Anne Teresa De Keersmaeker crée et danse un duo avec le jeune talent Solal Mariotte. Poussés par un intérêt commun pour la chanson, ils s’intéressent, pour cette nouvelle création, aux mélodies, aux ambiances, à la narration et aux mouvements qui caractérisent ce genre musical. En 2002, De Keersmaeker avait créé son deuxième solo de danse, Once, sur une musique de la chanteuse folk américaine Joan Baéz. Dans Creation 2025, elle donne suite à ce parcours, en explorant avec Mariotte le potentiel et les défis des chansons chorégraphiés, celles de Jacques Brel !
Anne Teresa De Keersmaeker creates and dances a duet with up-and-coming talent Solal Mariotte. From a shared interest in chanson, in this new creation they explore the melodies, moods, narrativity and gestures that characterize this musical genre.
18. Juin
Anne Teresa De Keersmaeker creates and dances a duet with up-and-coming talent Solal Mariotte. From a shared interest in chanson, in this new creation they explore the melodies, moods, narrativity and gestures that characterize this musical genre.
Alter est un dialogue sonore et sensitif entre une danseuse et un batteur sans batterie. Ensemble, ils explorent tous les états de l’argile et transforment le plateau en paysages micro et macroscopiques.
Aux creux de leurs échanges apparaissent des lieux imaginaires, des villes, des sols et des reliefs. Toujours dans l’instant, ils tracent des chemins intuitifs dans un rapport direct, brut et sans artifice avec la matière.
25. Juin
Alter est un dialogue sonore et sensitif entre une danseuse et un batteur sans batterie. Ensemble, ils explorent tous les états de l’argile et transforment le plateau en paysages micro et macroscopiques.
Aux creux de leurs échanges apparaissent des lieux imaginaires, des villes, des sols et des reliefs. Toujours dans l’instant, ils tracent des chemins intuitifs dans un rapport direct, brut et sans artifice avec la matière.
Vient de paraître
N° 90
Ce numéro propose un dossier sur le feed-back ou l’art du retour, des livres sur l’histoire de la danse et les entretiens de quatre chorégraphes sur leur processus créatif. Louise Vanneste, Louise Baduel, Arco Renz et Ikue Nagakawa nous révèlent leurs coulisses.
