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Des corps acrobatiques se faufilent dans des positions impossibles. Un groupe live vous plonge dans un bain sonore de dark wave électronique, gothique, industriel, noise et métal extrême. out of hands est un spectacle de danse et de musique sur le côté sombre de la jeunesse. Un groupe de jeunes vous emmène dans un voyage intense dans leur monde souterrain. Loin de l'image idéale. Directement à la douleur d’être adolescent.
En 2018, le chorégraphe Michiel Vandevelde a créé la production Paradise Now (1968-2018) à f ABULEUS, qui a été accueillie comme l'un des spectacles de danse les plus excitants de cette année-là. Car hors de contrôle, il travaille à nouveau avec des jeunes entre 13 et 23 ans. Dans les mythes anciens, la jeunesse symbolise souvent l’immortalité, la pureté, l’innocence et l’espoir. Derrière cette vision idéalisée de la jeunesse se cache un tout autre monde : celui des corps déséquilibrés. hors de contrôle se situe entre le monde souterrain et le monde supérieur de la psyché. Une expérience fascinante.
23. Avril - 26. Avril
Des corps acrobatiques se faufilent dans des positions impossibles. Un groupe live vous plonge dans un bain sonore de dark wave électronique, gothique, industriel, noise et métal extrême. out of hands est un spectacle de danse et de musique sur le côté sombre de la jeunesse. Un groupe de jeunes vous emmène dans un voyage intense dans leur monde souterrain. Loin de l'image idéale. Directement à la douleur d’être adolescent.
En 2018, le chorégraphe Michiel Vandevelde a créé la production Paradise Now (1968-2018) à f ABULEUS, qui a été accueillie comme l'un des spectacles de danse les plus excitants de cette année-là. Car hors de contrôle, il travaille à nouveau avec des jeunes entre 13 et 23 ans. Dans les mythes anciens, la jeunesse symbolise souvent l’immortalité, la pureté, l’innocence et l’espoir. Derrière cette vision idéalisée de la jeunesse se cache un tout autre monde : celui des corps déséquilibrés. hors de contrôle se situe entre le monde souterrain et le monde supérieur de la psyché. Une expérience fascinante.
Dans Shall we Together... la rencontre entre deux danseurs, mais aussi entre de jeunes enfants, leurs (grands)parents et des seniors est primordiale. Toutes les générations profitent ensemble d'un spectacle dans lequel deux danseurs se déséquilibrent, s'élèvent dans les airs et se rattrapent.
Au début, vous vous asseyez l’un en face de l’autre autour de la surface de jeu. De cette façon, vous ne regardez pas seulement les danseurs, mais aussi les uns les autres. Après le spectacle, les enfants, les (grands)parents et les seniors partent à la découverte ensemble. Regarder ensemble et jouer ensemble est central. Allons-nous travailler ensemble... se déroule dans un centre d'hébergement et est accessible à un public très diversifié et aux jeunes enfants à partir de 3 ans.
27. Avril
Dans Shall we Together... la rencontre entre deux danseurs, mais aussi entre de jeunes enfants, leurs (grands)parents et des seniors est primordiale. Toutes les générations profitent ensemble d'un spectacle dans lequel deux danseurs se déséquilibrent, s'élèvent dans les airs et se rattrapent.
Au début, vous vous asseyez l’un en face de l’autre autour de la surface de jeu. De cette façon, vous ne regardez pas seulement les danseurs, mais aussi les uns les autres. Après le spectacle, les enfants, les (grands)parents et les seniors partent à la découverte ensemble. Regarder ensemble et jouer ensemble est central. Allons-nous travailler ensemble... se déroule dans un centre d'hébergement et est accessible à un public très diversifié et aux jeunes enfants à partir de 3 ans.
Dans Every_body, le chorégraphe Alexander Vantournhout, en collaboration avec Emmi Väisänen, étudie et transforme les mouvements quotidiens comme une poignée de main ou une marche. Une simple poignée de main se transforme en une interaction complexe de bras, de coudes et d’épaules. Une marche sans fin montre le potentiel du travail des jambes et des pieds.
Every_body évolue sous nos yeux dans une chorégraphie complexe, dans laquelle les mouvements les plus subtils deviennent remarquables. Le duo est soutenu par une bande originale nouvellement créée par le compositeur et guitariste Geoffrey Burton. Le créateur de mode et scénographe Tom Van der Borght développe les costumes et l'univers surréaliste dans lequel se déroule le jeu de mouvement.
Every_body (2024) est le quatrième duo d'Alexander Vantournhout, après Through the Grapevine (2020), également projeté dans notre théâtre. Cette nouvelle performance franchit une nouvelle étape dans l’analyse des mouvements quotidiens pour repousser les limites de ce que le corps humain peut gérer.
Every_body , entre les mains d'Alexander Vantournhout, qui aime rechercher les extrêmes physiques à l'intersection de la danse et du cirque, sera à nouveau un spectacle de danse passionnant.
29. Avril
Dans Every_body, le chorégraphe Alexander Vantournhout, en collaboration avec Emmi Väisänen, étudie et transforme les mouvements quotidiens comme une poignée de main ou une marche. Une simple poignée de main se transforme en une interaction complexe de bras, de coudes et d’épaules. Une marche sans fin montre le potentiel du travail des jambes et des pieds.
Every_body évolue sous nos yeux dans une chorégraphie complexe, dans laquelle les mouvements les plus subtils deviennent remarquables. Le duo est soutenu par une bande originale nouvellement créée par le compositeur et guitariste Geoffrey Burton. Le créateur de mode et scénographe Tom Van der Borght développe les costumes et l'univers surréaliste dans lequel se déroule le jeu de mouvement.
Every_body (2024) est le quatrième duo d'Alexander Vantournhout, après Through the Grapevine (2020), également projeté dans notre théâtre. Cette nouvelle performance franchit une nouvelle étape dans l’analyse des mouvements quotidiens pour repousser les limites de ce que le corps humain peut gérer.
Every_body , entre les mains d'Alexander Vantournhout, qui aime rechercher les extrêmes physiques à l'intersection de la danse et du cirque, sera à nouveau un spectacle de danse passionnant.
Le travail de Claire Croizé s'inspire souvent du physique, de l'intuitif dans la danse, l'émotion et le geste. L'amour pour cette approche de la musique et de la danse trouve ses origines dès son plus jeune âge. La performance Fabula est une expression de l'intérêt de Croizé pour la musicalité du corps, le langage corporel et les émotions , le tout en relation avec la musique.
Sept danseurs et cinq musiciens explorent des émotions contradictoires face à l'état actuel du monde dans une polyphonie de voix. Colère et désespoir, joie et luxure se conjuguent dans une chorégraphie de sons et d'images puissantes, oscillant entre concert rock et opéra.
Fabula est la première collaboration de l'ECCE avec Unusual Symptoms , la compagnie du Theater Bremen , le groupe belge Zwerm et la batteuse Karen Willems . Le son aux influences prog-rock et psychédélique de l'album actuel de Zwerm, Great Expectations, dialogue avec des figures de la mythologie grecque et des textes de l'écrivain italien Cesare Pavese. Claire Croizé oppose tout avec le langage gestuel individuel des danseurs.
29. Avril
Le travail de Claire Croizé s'inspire souvent du physique, de l'intuitif dans la danse, l'émotion et le geste. L'amour pour cette approche de la musique et de la danse trouve ses origines dès son plus jeune âge. La performance Fabula est une expression de l'intérêt de Croizé pour la musicalité du corps, le langage corporel et les émotions , le tout en relation avec la musique.
Sept danseurs et cinq musiciens explorent des émotions contradictoires face à l'état actuel du monde dans une polyphonie de voix. Colère et désespoir, joie et luxure se conjuguent dans une chorégraphie de sons et d'images puissantes, oscillant entre concert rock et opéra.
Fabula est la première collaboration de l'ECCE avec Unusual Symptoms , la compagnie du Theater Bremen , le groupe belge Zwerm et la batteuse Karen Willems . Le son aux influences prog-rock et psychédélique de l'album actuel de Zwerm, Great Expectations, dialogue avec des figures de la mythologie grecque et des textes de l'écrivain italien Cesare Pavese. Claire Croizé oppose tout avec le langage gestuel individuel des danseurs.
Dans Every_body, le chorégraphe Alexander Vantournhout, en collaboration avec Emmi Väisänen, étudie les mouvements quotidiens tels que la poignée de main et la marche et les transforme en un polyptyque de dynamique corporelle. Une simple poignée de main se transforme en une interaction complexe de bras, de coudes et d'épaules et une marche sans fin montre le potentiel du travail des jambes et des pieds.
Every_body se développe ainsi dans une chorégraphie complexe, dans laquelle les mouvements les plus subtils deviennent remarquables. Le duo est accompagné d'une bande originale nouvellement créée par le compositeur et guitariste Geoffrey Burton. Le créateur de mode et scénographe Tom Van der Borght développe des costumes et un univers surréaliste dans lequel se déroule le jeu du mouvement.
Au cours de la dernière décennie, Alexander Vantournhout a créé une œuvre diversifiée, avec des performances de groupe telles que Foreshadow (2023) et SCREWS (2019) et des solos tels que VanThorhout (2022) et ANECKXANDER (2015). Every_body (2024) est déjà son quatrième duo, après Through the Grapevine (2020), La Ros e en Céramique (2018) et Raphaël (2017) et franchit une nouvelle étape dans l'analyse des mouvements quotidiens afin de repousser les limites de ce que le le corps humain peut le faire.
03. Mai
Dans Every_body, le chorégraphe Alexander Vantournhout, en collaboration avec Emmi Väisänen, étudie les mouvements quotidiens tels que la poignée de main et la marche et les transforme en un polyptyque de dynamique corporelle. Une simple poignée de main se transforme en une interaction complexe de bras, de coudes et d'épaules et une marche sans fin montre le potentiel du travail des jambes et des pieds.
Every_body se développe ainsi dans une chorégraphie complexe, dans laquelle les mouvements les plus subtils deviennent remarquables. Le duo est accompagné d'une bande originale nouvellement créée par le compositeur et guitariste Geoffrey Burton. Le créateur de mode et scénographe Tom Van der Borght développe des costumes et un univers surréaliste dans lequel se déroule le jeu du mouvement.
Au cours de la dernière décennie, Alexander Vantournhout a créé une œuvre diversifiée, avec des performances de groupe telles que Foreshadow (2023) et SCREWS (2019) et des solos tels que VanThorhout (2022) et ANECKXANDER (2015). Every_body (2024) est déjà son quatrième duo, après Through the Grapevine (2020), La Ros e en Céramique (2018) et Raphaël (2017) et franchit une nouvelle étape dans l'analyse des mouvements quotidiens afin de repousser les limites de ce que le le corps humain peut le faire.
Sketches of Emotion* est une performance hybride qui fusionne la danse contemporaine et les arts visuels à travers une installation interactive. Nous invitons les participants – interprètes et spectateurs – à créer intuitivement, à se connecter au-delà des mots et à façonner l'espace avec tout leur corps. Au fil des mouvements des danseurs, un artiste visuel capture leurs émotions et leur énergie sur papier ou toile, transformant un geste éphémère en une œuvre d'art intemporelle. Ce processus favorise la confiance, la liberté créative et un dialogue intergénérationnel et interculturel, unissant deux formes d'art souvent considérées comme distinctes.
03. Mai
Sketches of Emotion* est une performance hybride qui fusionne la danse contemporaine et les arts visuels à travers une installation interactive. Nous invitons les participants – interprètes et spectateurs – à créer intuitivement, à se connecter au-delà des mots et à façonner l'espace avec tout leur corps. Au fil des mouvements des danseurs, un artiste visuel capture leurs émotions et leur énergie sur papier ou toile, transformant un geste éphémère en une œuvre d'art intemporelle. Ce processus favorise la confiance, la liberté créative et un dialogue intergénérationnel et interculturel, unissant deux formes d'art souvent considérées comme distinctes.
Le merveilleux ballet Le Lac des Cygnes emmène petits et grands dans un monde merveilleux où le mal côtoie le bien, où l’amour finit par triompher. Bien long, comportant des passages un peu tièdes, parfois difficiles à appréhender pour un jeune public… En conservant la qualité de la danse, assurée par la compagnie ukrainienne de la prima ballerina Iryna Khandazhevska, Mon Premier Lac des Cygnes présente une histoire simplifiée avec une narration qui permet un accès plus compréhensif à l’histoire mythique du Prince Siegfried et d’Odette, sur la musique de Tchaïkovski.
D’une durée d’un peu plus d’une heure, bien commenté, ce spectacle conserve le merveilleux tout en permettant l’accès aux plus jeunes. Idéal pour tous les enfants… et leurs parents !
06. Mai
Le merveilleux ballet Le Lac des Cygnes emmène petits et grands dans un monde merveilleux où le mal côtoie le bien, où l’amour finit par triompher. Bien long, comportant des passages un peu tièdes, parfois difficiles à appréhender pour un jeune public… En conservant la qualité de la danse, assurée par la compagnie ukrainienne de la prima ballerina Iryna Khandazhevska, Mon Premier Lac des Cygnes présente une histoire simplifiée avec une narration qui permet un accès plus compréhensif à l’histoire mythique du Prince Siegfried et d’Odette, sur la musique de Tchaïkovski.
D’une durée d’un peu plus d’une heure, bien commenté, ce spectacle conserve le merveilleux tout en permettant l’accès aux plus jeunes. Idéal pour tous les enfants… et leurs parents !
Avec "REvolution 2349", la danseuse Danielle Allouma et le chorégraphe Arco Renz avaient ouvert le champ des possibles autour de la note "Ré" et de sa fréquence de 2349,32 Hz.
Pendant une heure, de circonvolutions en circonvolutions autour d'un point fixe, cette performance spectaculaire transformait nos perceptions sensorielles et nos imaginaires hypnotisés.
Cette fois, avec REbis 7 (titre provisoire), deuxième volet d'une trilogie, ils continuent leur recherche sur le corps en rotation. Une figure spirituelle et androgyne se confronte à la symbolique du chiffre 7.
Mélangeant musique, danse et chromatisme à des costumes et des sculptures insolites, cette nouvelle performance viscérale est un hommage à la métamorphose, à l'émancipation des schémas binaires habituels.
06. Mai
Avec "REvolution 2349", la danseuse Danielle Allouma et le chorégraphe Arco Renz avaient ouvert le champ des possibles autour de la note "Ré" et de sa fréquence de 2349,32 Hz.
Pendant une heure, de circonvolutions en circonvolutions autour d'un point fixe, cette performance spectaculaire transformait nos perceptions sensorielles et nos imaginaires hypnotisés.
Cette fois, avec REbis 7 (titre provisoire), deuxième volet d'une trilogie, ils continuent leur recherche sur le corps en rotation. Une figure spirituelle et androgyne se confronte à la symbolique du chiffre 7.
Mélangeant musique, danse et chromatisme à des costumes et des sculptures insolites, cette nouvelle performance viscérale est un hommage à la métamorphose, à l'émancipation des schémas binaires habituels.

À la fin des années 1870, Eadward Muybridge tente de photographier le cheval le plus rapide en pleine course. Le deuxième jour de l'expérience, une ombre est capturée par l'appareil photo, avec la promesse de capturer à jamais un moment insaisissable. Mais qu'est-ce qu'un instant et qu'est-ce que l'éternité ? Et quel est leur rapport avec l'amour ? Le moment parfait, un baiser, le premier regard, le premier « je t'aime » ... S'agirait-il seulement de souvenirs, d'illusions ou de fiction ? S'agirait-il d'une histoire que l'on ne cesse de se raconter pour qu'elle devienne réalité ? Un moment déjà terminé dès que l’on en prend conscience, comme le cheval le plus rapide lancé à pleine vitesse.
Nous voulons faire de l'amour une histoire parfaite, mais la réalité est plus complexe et dépasse notre imagination. Traduisant le contraste entre le rêve et la réalité en une série de fragments,
In Love s'interroge sur la manière dont nous construisons et mettons en scène cet amour.
In Love raconte comment le cœur s'effondre, se brise, guérit et fait tomber les illusions.
In Love est une demande de tendresse et de proximité avec un désir de rembobiner, d'accélérer et d'interrompre.
06. Mai - 07. Mai
À la fin des années 1870, Eadward Muybridge tente de photographier le cheval le plus rapide en pleine course. Le deuxième jour de l'expérience, une ombre est capturée par l'appareil photo, avec la promesse de capturer à jamais un moment insaisissable. Mais qu'est-ce qu'un instant et qu'est-ce que l'éternité ? Et quel est leur rapport avec l'amour ? Le moment parfait, un baiser, le premier regard, le premier « je t'aime » ... S'agirait-il seulement de souvenirs, d'illusions ou de fiction ? S'agirait-il d'une histoire que l'on ne cesse de se raconter pour qu'elle devienne réalité ? Un moment déjà terminé dès que l’on en prend conscience, comme le cheval le plus rapide lancé à pleine vitesse.
Nous voulons faire de l'amour une histoire parfaite, mais la réalité est plus complexe et dépasse notre imagination. Traduisant le contraste entre le rêve et la réalité en une série de fragments,
In Love s'interroge sur la manière dont nous construisons et mettons en scène cet amour.
In Love raconte comment le cœur s'effondre, se brise, guérit et fait tomber les illusions.
In Love est une demande de tendresse et de proximité avec un désir de rembobiner, d'accélérer et d'interrompre.
Après le triomphe en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Après le triomphe au Stadsschouwburg d’Anvers en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Le Ballet For Life, avec la chorégraphie signée de Maurice Béjart, la musique de Queen et Mozart et les costumes de Gianni Versace, est un des ballets les plus populaires de Maurice Béjart. Présenté pour la première fois en 1996 au Métropole, avec Gregor Metzger et Gil Roman dans les rôles principaux, le ballet fut ensuite donné le 17 janvier 1997 au théâtre de Chaillot, à Paris avec Elton John et Queen sur scène.
En tout cas, Maurice Béjart n’a pas cherché l’idée du Ballet For Life... Elle s’est imposée à lui. Il appréciait – sans plus – la musique de Queen, découverte dans les années quatre-vingt. Et puis, il s’avisa que Freddie Mercury et Jorge Donn étaient décédés tous deux, du même mal, à l’âge de 45 ans. Titillé par l’idée de créer un ballet autour de Mercury et de Donn, Cependant ,« Ce ne sera pas un ballet sur le sida, décida Béjart, mais sur les gens qui sont morts jeunes. » Sur les musiques de Queen et de Mozart, les chorégraphies de Maurice Béjart, les 40 danseurs, costumés par Gianni Versace, enchaînent avec force et grâce les tableaux d’un ballet poignant sur la jeunesse et l’espoir.
"il y a un peu plus de trente ans, au milieu de la surprenante musique de Berlioz entrecoupée de bombardements et de bruits de mitrailleuses, un Frère Laurent peu conventionnel s'écriait devant Jorge Donn et Hitomi Asakawa : "Faites l'amour, pas la guerre !".
Aujourd'hui, Gil Roman, qui a à peu près l'âge de la création de mon Roméo et Juliette, entouré de danseurs qui n'ont jamais vu ce ballet répond : "Vous nous avez dit : faites l'amour, pas la guerre. Nous avons fait l'amour, pourquoi l'amour nous fait-il la guerre ?".
Cri d'angoisse d'une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l'amour s'ajoute à celui des guerres multiples qui n'ont pas cessé dans le monde depuis la soi-disant FiN de la dernière guerre mondiale !
Mes ballets sont avant tout des rencontres : avec une musique, avec la vie, avec la mort, avec l'amour...avec des êtres dont le passé et l'oeuvre se réincarnent en moi, de même que le danseur que je ne suis plus, se réincarne à chaque fois en des interprètes qui le dépassent.
Coup de foudre pour la musique de Queen, invention, violence, humour, amour, tout est là. Je les aime, ils m'inspirent, ils me guident et, de temps en temps dans ce no man's land où nous irons tous un jour, Freddie Mercury, j'en suis sûr, se met au piano avec Mozart.
Un ballet sur la jeunesse et l'espoir puisque, indécrottable, optimiste, je crois aussi malgré tout que The show Must go on, comme le chante Queen".
08. Mai - 10. Mai
Après le triomphe en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Après le triomphe au Stadsschouwburg d’Anvers en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Le Ballet For Life, avec la chorégraphie signée de Maurice Béjart, la musique de Queen et Mozart et les costumes de Gianni Versace, est un des ballets les plus populaires de Maurice Béjart. Présenté pour la première fois en 1996 au Métropole, avec Gregor Metzger et Gil Roman dans les rôles principaux, le ballet fut ensuite donné le 17 janvier 1997 au théâtre de Chaillot, à Paris avec Elton John et Queen sur scène.
En tout cas, Maurice Béjart n’a pas cherché l’idée du Ballet For Life... Elle s’est imposée à lui. Il appréciait – sans plus – la musique de Queen, découverte dans les années quatre-vingt. Et puis, il s’avisa que Freddie Mercury et Jorge Donn étaient décédés tous deux, du même mal, à l’âge de 45 ans. Titillé par l’idée de créer un ballet autour de Mercury et de Donn, Cependant ,« Ce ne sera pas un ballet sur le sida, décida Béjart, mais sur les gens qui sont morts jeunes. » Sur les musiques de Queen et de Mozart, les chorégraphies de Maurice Béjart, les 40 danseurs, costumés par Gianni Versace, enchaînent avec force et grâce les tableaux d’un ballet poignant sur la jeunesse et l’espoir.
"il y a un peu plus de trente ans, au milieu de la surprenante musique de Berlioz entrecoupée de bombardements et de bruits de mitrailleuses, un Frère Laurent peu conventionnel s'écriait devant Jorge Donn et Hitomi Asakawa : "Faites l'amour, pas la guerre !".
Aujourd'hui, Gil Roman, qui a à peu près l'âge de la création de mon Roméo et Juliette, entouré de danseurs qui n'ont jamais vu ce ballet répond : "Vous nous avez dit : faites l'amour, pas la guerre. Nous avons fait l'amour, pourquoi l'amour nous fait-il la guerre ?".
Cri d'angoisse d'une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l'amour s'ajoute à celui des guerres multiples qui n'ont pas cessé dans le monde depuis la soi-disant FiN de la dernière guerre mondiale !
Mes ballets sont avant tout des rencontres : avec une musique, avec la vie, avec la mort, avec l'amour...avec des êtres dont le passé et l'oeuvre se réincarnent en moi, de même que le danseur que je ne suis plus, se réincarne à chaque fois en des interprètes qui le dépassent.
Coup de foudre pour la musique de Queen, invention, violence, humour, amour, tout est là. Je les aime, ils m'inspirent, ils me guident et, de temps en temps dans ce no man's land où nous irons tous un jour, Freddie Mercury, j'en suis sûr, se met au piano avec Mozart.
Un ballet sur la jeunesse et l'espoir puisque, indécrottable, optimiste, je crois aussi malgré tout que The show Must go on, comme le chante Queen".
La chorégraphe espagnole Rocío Molina introduit dans le flamenco traditionnel une solide dose de bravoure d'avant-garde. Son travail est internationalement récompensé ; elle a reçu le Lion d'Argent de la Biennale de Venise en 2022.
Dans Carnación elle explore la dualité du désir au travers d'une série d'images oniriques. Le titre renvoie à la couleur chair utilisée pour les parties du corps sur les blasons anciens. Mais ce mot est également lié au concept biblique de l'incarnation. Sur une bande-son de musique sacrée et électronique alternent des images religieuses et grotesques. Carnación capture l'énergie brute du désir dans la beauté obscure et nous rappelle la fragilité de la condition humaine.
Carnación prend vie en collaboration avec Niño de Elche, un grand nom de la musique de flamenco contemporaine. En mai, nous l'accueillons aussi pour un concert en solo, un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs de renouveau dans l'univers du flamenco.
09. Mai - 10. Mai
La chorégraphe espagnole Rocío Molina introduit dans le flamenco traditionnel une solide dose de bravoure d'avant-garde. Son travail est internationalement récompensé ; elle a reçu le Lion d'Argent de la Biennale de Venise en 2022.
Dans Carnación elle explore la dualité du désir au travers d'une série d'images oniriques. Le titre renvoie à la couleur chair utilisée pour les parties du corps sur les blasons anciens. Mais ce mot est également lié au concept biblique de l'incarnation. Sur une bande-son de musique sacrée et électronique alternent des images religieuses et grotesques. Carnación capture l'énergie brute du désir dans la beauté obscure et nous rappelle la fragilité de la condition humaine.
Carnación prend vie en collaboration avec Niño de Elche, un grand nom de la musique de flamenco contemporaine. En mai, nous l'accueillons aussi pour un concert en solo, un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs de renouveau dans l'univers du flamenco.
Inspiré par un phénomène optique atmosphérique, particulièrement présent dans les régions arctiques, où l’absence de contraste forme des paysages blancs immaculés, effaçant ombres et horizons, et tout sens d’orientation, le duo d’artiste Tumbleweed explore avec Dehors est blanc les notions de territoire et d’exploration. Avec une pièce aux allures d’installation, dans laquelle trois danseurs se déploient dans le vide, suspendus au-dessus d’une lumière renversée, comme le témoigne de l’impermanence des choses.
14. Mai
Inspiré par un phénomène optique atmosphérique, particulièrement présent dans les régions arctiques, où l’absence de contraste forme des paysages blancs immaculés, effaçant ombres et horizons, et tout sens d’orientation, le duo d’artiste Tumbleweed explore avec Dehors est blanc les notions de territoire et d’exploration. Avec une pièce aux allures d’installation, dans laquelle trois danseurs se déploient dans le vide, suspendus au-dessus d’une lumière renversée, comme le témoigne de l’impermanence des choses.
Vient de paraître
N° 90
Ce numéro propose un dossier sur le feed-back ou l’art du retour, des livres sur l’histoire de la danse et les entretiens de quatre chorégraphes sur leur processus créatif. Louise Vanneste, Louise Baduel, Arco Renz et Ikue Nagakawa nous révèlent leurs coulisses.
