Sketches of Emotion* est une performance hybride qui fusionne la danse contemporaine et les arts visuels à travers une installation interactive. Nous invitons les participants – interprètes et spectateurs – à créer intuitivement, à se connecter au-delà des mots et à façonner l'espace avec tout leur corps. Au fil des mouvements des danseurs, un artiste visuel capture leurs émotions et leur énergie sur papier ou toile, transformant un geste éphémère en une œuvre d'art intemporelle. Ce processus favorise la confiance, la liberté créative et un dialogue intergénérationnel et interculturel, unissant deux formes d'art souvent considérées comme distinctes.
03. May
Sketches of Emotion* est une performance hybride qui fusionne la danse contemporaine et les arts visuels à travers une installation interactive. Nous invitons les participants – interprètes et spectateurs – à créer intuitivement, à se connecter au-delà des mots et à façonner l'espace avec tout leur corps. Au fil des mouvements des danseurs, un artiste visuel capture leurs émotions et leur énergie sur papier ou toile, transformant un geste éphémère en une œuvre d'art intemporelle. Ce processus favorise la confiance, la liberté créative et un dialogue intergénérationnel et interculturel, unissant deux formes d'art souvent considérées comme distinctes.
Avec "REvolution 2349", la danseuse Danielle Allouma et le chorégraphe Arco Renz avaient ouvert le champ des possibles autour de la note "Ré" et de sa fréquence de 2349,32 Hz.
Pendant une heure, de circonvolutions en circonvolutions autour d'un point fixe, cette performance spectaculaire transformait nos perceptions sensorielles et nos imaginaires hypnotisés.
Cette fois, avec REbis 7 (titre provisoire), deuxième volet d'une trilogie, ils continuent leur recherche sur le corps en rotation. Une figure spirituelle et androgyne se confronte à la symbolique du chiffre 7.
Mélangeant musique, danse et chromatisme à des costumes et des sculptures insolites, cette nouvelle performance viscérale est un hommage à la métamorphose, à l'émancipation des schémas binaires habituels.
06. May
Avec "REvolution 2349", la danseuse Danielle Allouma et le chorégraphe Arco Renz avaient ouvert le champ des possibles autour de la note "Ré" et de sa fréquence de 2349,32 Hz.
Pendant une heure, de circonvolutions en circonvolutions autour d'un point fixe, cette performance spectaculaire transformait nos perceptions sensorielles et nos imaginaires hypnotisés.
Cette fois, avec REbis 7 (titre provisoire), deuxième volet d'une trilogie, ils continuent leur recherche sur le corps en rotation. Une figure spirituelle et androgyne se confronte à la symbolique du chiffre 7.
Mélangeant musique, danse et chromatisme à des costumes et des sculptures insolites, cette nouvelle performance viscérale est un hommage à la métamorphose, à l'émancipation des schémas binaires habituels.

Le merveilleux ballet Le Lac des Cygnes emmène petits et grands dans un monde merveilleux où le mal côtoie le bien, où l’amour finit par triompher. Bien long, comportant des passages un peu tièdes, parfois difficiles à appréhender pour un jeune public… En conservant la qualité de la danse, assurée par la compagnie ukrainienne de la prima ballerina Iryna Khandazhevska, Mon Premier Lac des Cygnes présente une histoire simplifiée avec une narration qui permet un accès plus compréhensif à l’histoire mythique du Prince Siegfried et d’Odette, sur la musique de Tchaïkovski.
D’une durée d’un peu plus d’une heure, bien commenté, ce spectacle conserve le merveilleux tout en permettant l’accès aux plus jeunes. Idéal pour tous les enfants… et leurs parents !
06. May
Le merveilleux ballet Le Lac des Cygnes emmène petits et grands dans un monde merveilleux où le mal côtoie le bien, où l’amour finit par triompher. Bien long, comportant des passages un peu tièdes, parfois difficiles à appréhender pour un jeune public… En conservant la qualité de la danse, assurée par la compagnie ukrainienne de la prima ballerina Iryna Khandazhevska, Mon Premier Lac des Cygnes présente une histoire simplifiée avec une narration qui permet un accès plus compréhensif à l’histoire mythique du Prince Siegfried et d’Odette, sur la musique de Tchaïkovski.
D’une durée d’un peu plus d’une heure, bien commenté, ce spectacle conserve le merveilleux tout en permettant l’accès aux plus jeunes. Idéal pour tous les enfants… et leurs parents !
À la fin des années 1870, Eadward Muybridge tente de photographier le cheval le plus rapide en pleine course. Le deuxième jour de l'expérience, une ombre est capturée par l'appareil photo, avec la promesse de capturer à jamais un moment insaisissable. Mais qu'est-ce qu'un instant et qu'est-ce que l'éternité ? Et quel est leur rapport avec l'amour ? Le moment parfait, un baiser, le premier regard, le premier « je t'aime » ... S'agirait-il seulement de souvenirs, d'illusions ou de fiction ? S'agirait-il d'une histoire que l'on ne cesse de se raconter pour qu'elle devienne réalité ? Un moment déjà terminé dès que l’on en prend conscience, comme le cheval le plus rapide lancé à pleine vitesse.
Nous voulons faire de l'amour une histoire parfaite, mais la réalité est plus complexe et dépasse notre imagination. Traduisant le contraste entre le rêve et la réalité en une série de fragments,
In Love s'interroge sur la manière dont nous construisons et mettons en scène cet amour.
In Love raconte comment le cœur s'effondre, se brise, guérit et fait tomber les illusions.
In Love est une demande de tendresse et de proximité avec un désir de rembobiner, d'accélérer et d'interrompre.
06. May - 07. May
À la fin des années 1870, Eadward Muybridge tente de photographier le cheval le plus rapide en pleine course. Le deuxième jour de l'expérience, une ombre est capturée par l'appareil photo, avec la promesse de capturer à jamais un moment insaisissable. Mais qu'est-ce qu'un instant et qu'est-ce que l'éternité ? Et quel est leur rapport avec l'amour ? Le moment parfait, un baiser, le premier regard, le premier « je t'aime » ... S'agirait-il seulement de souvenirs, d'illusions ou de fiction ? S'agirait-il d'une histoire que l'on ne cesse de se raconter pour qu'elle devienne réalité ? Un moment déjà terminé dès que l’on en prend conscience, comme le cheval le plus rapide lancé à pleine vitesse.
Nous voulons faire de l'amour une histoire parfaite, mais la réalité est plus complexe et dépasse notre imagination. Traduisant le contraste entre le rêve et la réalité en une série de fragments,
In Love s'interroge sur la manière dont nous construisons et mettons en scène cet amour.
In Love raconte comment le cœur s'effondre, se brise, guérit et fait tomber les illusions.
In Love est une demande de tendresse et de proximité avec un désir de rembobiner, d'accélérer et d'interrompre.
Après le triomphe en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Après le triomphe au Stadsschouwburg d’Anvers en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Le Ballet For Life, avec la chorégraphie signée de Maurice Béjart, la musique de Queen et Mozart et les costumes de Gianni Versace, est un des ballets les plus populaires de Maurice Béjart. Présenté pour la première fois en 1996 au Métropole, avec Gregor Metzger et Gil Roman dans les rôles principaux, le ballet fut ensuite donné le 17 janvier 1997 au théâtre de Chaillot, à Paris avec Elton John et Queen sur scène.
En tout cas, Maurice Béjart n’a pas cherché l’idée du Ballet For Life... Elle s’est imposée à lui. Il appréciait – sans plus – la musique de Queen, découverte dans les années quatre-vingt. Et puis, il s’avisa que Freddie Mercury et Jorge Donn étaient décédés tous deux, du même mal, à l’âge de 45 ans. Titillé par l’idée de créer un ballet autour de Mercury et de Donn, Cependant ,« Ce ne sera pas un ballet sur le sida, décida Béjart, mais sur les gens qui sont morts jeunes. » Sur les musiques de Queen et de Mozart, les chorégraphies de Maurice Béjart, les 40 danseurs, costumés par Gianni Versace, enchaînent avec force et grâce les tableaux d’un ballet poignant sur la jeunesse et l’espoir.
"il y a un peu plus de trente ans, au milieu de la surprenante musique de Berlioz entrecoupée de bombardements et de bruits de mitrailleuses, un Frère Laurent peu conventionnel s'écriait devant Jorge Donn et Hitomi Asakawa : "Faites l'amour, pas la guerre !".
Aujourd'hui, Gil Roman, qui a à peu près l'âge de la création de mon Roméo et Juliette, entouré de danseurs qui n'ont jamais vu ce ballet répond : "Vous nous avez dit : faites l'amour, pas la guerre. Nous avons fait l'amour, pourquoi l'amour nous fait-il la guerre ?".
Cri d'angoisse d'une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l'amour s'ajoute à celui des guerres multiples qui n'ont pas cessé dans le monde depuis la soi-disant FiN de la dernière guerre mondiale !
Mes ballets sont avant tout des rencontres : avec une musique, avec la vie, avec la mort, avec l'amour...avec des êtres dont le passé et l'oeuvre se réincarnent en moi, de même que le danseur que je ne suis plus, se réincarne à chaque fois en des interprètes qui le dépassent.
Coup de foudre pour la musique de Queen, invention, violence, humour, amour, tout est là. Je les aime, ils m'inspirent, ils me guident et, de temps en temps dans ce no man's land où nous irons tous un jour, Freddie Mercury, j'en suis sûr, se met au piano avec Mozart.
Un ballet sur la jeunesse et l'espoir puisque, indécrottable, optimiste, je crois aussi malgré tout que The show Must go on, comme le chante Queen".
08. May - 10. May
Après le triomphe en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Après le triomphe au Stadsschouwburg d’Anvers en 2023 avec presque 8.000 spectateurs, la compagnie annonce son retour à Anvers en 2025 avec le ballet spectaculaire ‘Ballet For Life’.
Le Ballet For Life, avec la chorégraphie signée de Maurice Béjart, la musique de Queen et Mozart et les costumes de Gianni Versace, est un des ballets les plus populaires de Maurice Béjart. Présenté pour la première fois en 1996 au Métropole, avec Gregor Metzger et Gil Roman dans les rôles principaux, le ballet fut ensuite donné le 17 janvier 1997 au théâtre de Chaillot, à Paris avec Elton John et Queen sur scène.
En tout cas, Maurice Béjart n’a pas cherché l’idée du Ballet For Life... Elle s’est imposée à lui. Il appréciait – sans plus – la musique de Queen, découverte dans les années quatre-vingt. Et puis, il s’avisa que Freddie Mercury et Jorge Donn étaient décédés tous deux, du même mal, à l’âge de 45 ans. Titillé par l’idée de créer un ballet autour de Mercury et de Donn, Cependant ,« Ce ne sera pas un ballet sur le sida, décida Béjart, mais sur les gens qui sont morts jeunes. » Sur les musiques de Queen et de Mozart, les chorégraphies de Maurice Béjart, les 40 danseurs, costumés par Gianni Versace, enchaînent avec force et grâce les tableaux d’un ballet poignant sur la jeunesse et l’espoir.
"il y a un peu plus de trente ans, au milieu de la surprenante musique de Berlioz entrecoupée de bombardements et de bruits de mitrailleuses, un Frère Laurent peu conventionnel s'écriait devant Jorge Donn et Hitomi Asakawa : "Faites l'amour, pas la guerre !".
Aujourd'hui, Gil Roman, qui a à peu près l'âge de la création de mon Roméo et Juliette, entouré de danseurs qui n'ont jamais vu ce ballet répond : "Vous nous avez dit : faites l'amour, pas la guerre. Nous avons fait l'amour, pourquoi l'amour nous fait-il la guerre ?".
Cri d'angoisse d'une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l'amour s'ajoute à celui des guerres multiples qui n'ont pas cessé dans le monde depuis la soi-disant FiN de la dernière guerre mondiale !
Mes ballets sont avant tout des rencontres : avec une musique, avec la vie, avec la mort, avec l'amour...avec des êtres dont le passé et l'oeuvre se réincarnent en moi, de même que le danseur que je ne suis plus, se réincarne à chaque fois en des interprètes qui le dépassent.
Coup de foudre pour la musique de Queen, invention, violence, humour, amour, tout est là. Je les aime, ils m'inspirent, ils me guident et, de temps en temps dans ce no man's land où nous irons tous un jour, Freddie Mercury, j'en suis sûr, se met au piano avec Mozart.
Un ballet sur la jeunesse et l'espoir puisque, indécrottable, optimiste, je crois aussi malgré tout que The show Must go on, comme le chante Queen".
La chorégraphe espagnole Rocío Molina introduit dans le flamenco traditionnel une solide dose de bravoure d'avant-garde. Son travail est internationalement récompensé ; elle a reçu le Lion d'Argent de la Biennale de Venise en 2022.
Dans Carnación elle explore la dualité du désir au travers d'une série d'images oniriques. Le titre renvoie à la couleur chair utilisée pour les parties du corps sur les blasons anciens. Mais ce mot est également lié au concept biblique de l'incarnation. Sur une bande-son de musique sacrée et électronique alternent des images religieuses et grotesques. Carnación capture l'énergie brute du désir dans la beauté obscure et nous rappelle la fragilité de la condition humaine.
Carnación prend vie en collaboration avec Niño de Elche, un grand nom de la musique de flamenco contemporaine. En mai, nous l'accueillons aussi pour un concert en solo, un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs de renouveau dans l'univers du flamenco.
09. May - 10. May
La chorégraphe espagnole Rocío Molina introduit dans le flamenco traditionnel une solide dose de bravoure d'avant-garde. Son travail est internationalement récompensé ; elle a reçu le Lion d'Argent de la Biennale de Venise en 2022.
Dans Carnación elle explore la dualité du désir au travers d'une série d'images oniriques. Le titre renvoie à la couleur chair utilisée pour les parties du corps sur les blasons anciens. Mais ce mot est également lié au concept biblique de l'incarnation. Sur une bande-son de musique sacrée et électronique alternent des images religieuses et grotesques. Carnación capture l'énergie brute du désir dans la beauté obscure et nous rappelle la fragilité de la condition humaine.
Carnación prend vie en collaboration avec Niño de Elche, un grand nom de la musique de flamenco contemporaine. En mai, nous l'accueillons aussi pour un concert en solo, un rendez-vous à ne pas manquer pour les amateurs de renouveau dans l'univers du flamenco.
Il est un peu plus âgé, un peu plus lent, un peu plus doux et a parfois envie d'oublier quelque chose. Elle est jeune, bruyante, rapide et fait de la musculation.
Ils vivent l'un à côté de l'autre et, même s'ils sont un peu méfiants et hésitants au début, ils deviennent plus ouverts et amicaux à chaque rencontre. Il était autrefois danseur et veut danser encore une fois en tant que Ginger dans Cheek to Cheek , avec le plumage et tout. Il cherche juste un Fred.
Peut-être qu'elle veut l'être ?
14. May
Il est un peu plus âgé, un peu plus lent, un peu plus doux et a parfois envie d'oublier quelque chose. Elle est jeune, bruyante, rapide et fait de la musculation.
Ils vivent l'un à côté de l'autre et, même s'ils sont un peu méfiants et hésitants au début, ils deviennent plus ouverts et amicaux à chaque rencontre. Il était autrefois danseur et veut danser encore une fois en tant que Ginger dans Cheek to Cheek , avec le plumage et tout. Il cherche juste un Fred.
Peut-être qu'elle veut l'être ?
Inspiré par un phénomène optique atmosphérique, particulièrement présent dans les régions arctiques, où l’absence de contraste forme des paysages blancs immaculés, effaçant ombres et horizons, et tout sens d’orientation, le duo d’artiste Tumbleweed explore avec Dehors est blanc les notions de territoire et d’exploration. Avec une pièce aux allures d’installation, dans laquelle trois danseurs se déploient dans le vide, suspendus au-dessus d’une lumière renversée, comme le témoigne de l’impermanence des choses.
14. May
Inspiré par un phénomène optique atmosphérique, particulièrement présent dans les régions arctiques, où l’absence de contraste forme des paysages blancs immaculés, effaçant ombres et horizons, et tout sens d’orientation, le duo d’artiste Tumbleweed explore avec Dehors est blanc les notions de territoire et d’exploration. Avec une pièce aux allures d’installation, dans laquelle trois danseurs se déploient dans le vide, suspendus au-dessus d’une lumière renversée, comme le témoigne de l’impermanence des choses.
Le Junior Ballet Project (JBP), initié par Sidonie Fossé, directrice artistique et chorégraphe principale d’Opinion Public Cie, marque le début d’une nouvelle aventure artistique pour la saison 24-25.
La toute première création du JBP réunira une nouvelle génération de danseurs issus de dix pays différents. Ces jeunes talents, guidés par Sidonie Fossé, fouleront pour la première fois la scène belge.
À travers cette création, fidèle à l’approche d’Opinion Public, elle explore la relation de l’Homme avec son environnement, en mettant en lumière ses états d’âme et ses questionnements intérieurs.
14. May - 15. May
Le Junior Ballet Project (JBP), initié par Sidonie Fossé, directrice artistique et chorégraphe principale d’Opinion Public Cie, marque le début d’une nouvelle aventure artistique pour la saison 24-25.
La toute première création du JBP réunira une nouvelle génération de danseurs issus de dix pays différents. Ces jeunes talents, guidés par Sidonie Fossé, fouleront pour la première fois la scène belge.
À travers cette création, fidèle à l’approche d’Opinion Public, elle explore la relation de l’Homme avec son environnement, en mettant en lumière ses états d’âme et ses questionnements intérieurs.
Quand un sanctuaire domestique devient le théâtre des sept péchés capitaux.
Pièce pour 6 danseurs
Dans un lieu ordinaire qui se révèle extraordinaire, Kit’chen explore le purgatoire à travers une cuisine, où chaque porte de placard renferme des moments clés de la vie humaine. Ce sanctuaire domestique devient le théâtre des sept péchés capitaux, révélant nos faiblesses, nos tentations, et les masques que nous portons pour cacher nos imperfections.
Au centre de cette scène, une âme égarée erre dans cet espace transitionnel, confrontée à un bilan honnête de sa vie. Chaque porte s’ouvre sur les péchés et vertus qui ont façonné son parcours, de la gourmandise au désir en passant par l’envie et la colère.
Les bruits, les odeurs et les saveurs familières de la cuisine deviennent un labyrinthe sensoriel où les souvenirs prennent vie et les tentations deviennent tangibles.
La pièce navigue entre poésie et réalité brute, offrant au public une réflexion sincère sur nos relations avec les autres et notre lutte intérieure entre bien et mal. Sans être moralisatrice, Kit’chen invite chacun à retirer le masque de la vie sociale et à regarder son propre reflet dans ce microcosme de la condition humaine.
"Unir la danse classique et contemporaine, tout comme l’héritage et le présent, pour une création résolument tournée vers demain." - Sidonie Fossé, directrice artistique
08. May - 15. May
Quand un sanctuaire domestique devient le théâtre des sept péchés capitaux.
Pièce pour 6 danseurs
Dans un lieu ordinaire qui se révèle extraordinaire, Kit’chen explore le purgatoire à travers une cuisine, où chaque porte de placard renferme des moments clés de la vie humaine. Ce sanctuaire domestique devient le théâtre des sept péchés capitaux, révélant nos faiblesses, nos tentations, et les masques que nous portons pour cacher nos imperfections.
Au centre de cette scène, une âme égarée erre dans cet espace transitionnel, confrontée à un bilan honnête de sa vie. Chaque porte s’ouvre sur les péchés et vertus qui ont façonné son parcours, de la gourmandise au désir en passant par l’envie et la colère.
Les bruits, les odeurs et les saveurs familières de la cuisine deviennent un labyrinthe sensoriel où les souvenirs prennent vie et les tentations deviennent tangibles.
La pièce navigue entre poésie et réalité brute, offrant au public une réflexion sincère sur nos relations avec les autres et notre lutte intérieure entre bien et mal. Sans être moralisatrice, Kit’chen invite chacun à retirer le masque de la vie sociale et à regarder son propre reflet dans ce microcosme de la condition humaine.
"Unir la danse classique et contemporaine, tout comme l’héritage et le présent, pour une création résolument tournée vers demain." - Sidonie Fossé, directrice artistique
Le chorégraphe Josef Nadj fait jaillir l’identité de sept interprètes originaires d’Afrique dans Full Moon. Leurs récits intimes dansés s’entremêlent à l’histoire du jazz noir américain et à l’art de la marionnette pour créer un ensemble profond et intrigant.
Josef Nadj a marqué la scène contemporaine dès les années 1980 en France avec sa patte engagée et poétique. Habitué à questionner l’universalité à travers des expériences intimes, le chorégraphe d’ex-Yougoslavie dévoilait OMMA en 2021, pour huit danseurs originaires d’Afrique en quête des origines de la danse, qui nous plongeait dans leurs histoires personnelles. Full Moon convoque sept interprètes de ce groupe pour poursuivre une recherche similaire : une quête d’identités et de mémoires, manière de se connecter à des rythmes et mouvements ancestraux. Ensemble ils invoquent aussi de grandes figures du jazz noir américain, dont ils ont expérimenté et analysé la musique pour inventer une danse qui pourrait lui correspondre. Une marionnette veille sur eux, figure inanimée qui surveille les vivants, créant un ensemble énigmatique.
16. May
Le chorégraphe Josef Nadj fait jaillir l’identité de sept interprètes originaires d’Afrique dans Full Moon. Leurs récits intimes dansés s’entremêlent à l’histoire du jazz noir américain et à l’art de la marionnette pour créer un ensemble profond et intrigant.
Josef Nadj a marqué la scène contemporaine dès les années 1980 en France avec sa patte engagée et poétique. Habitué à questionner l’universalité à travers des expériences intimes, le chorégraphe d’ex-Yougoslavie dévoilait OMMA en 2021, pour huit danseurs originaires d’Afrique en quête des origines de la danse, qui nous plongeait dans leurs histoires personnelles. Full Moon convoque sept interprètes de ce groupe pour poursuivre une recherche similaire : une quête d’identités et de mémoires, manière de se connecter à des rythmes et mouvements ancestraux. Ensemble ils invoquent aussi de grandes figures du jazz noir américain, dont ils ont expérimenté et analysé la musique pour inventer une danse qui pourrait lui correspondre. Une marionnette veille sur eux, figure inanimée qui surveille les vivants, créant un ensemble énigmatique.
En sonorités et en mouvement, Alter fait vibrer la terre par l'entremise d'une danseuse et d'un musicien percussionniste qui, ensemble, font du plateau-laboratoire un paysage en constante transformation.
Avec sa compagnie Nyash, depuis 2005, Caroline Cornélis a à cœur de s'adresser aux enfants comme aux adultes, par des langages qui convoquent le sensible et attisent le lien. Elle a imaginé ici un dialogue sonore et sensitif entre une danseuse et un batteur sans batterie. Des villes, des sols, des reliefs naissent de leurs échanges, de leurs modelages.
Dépasser les limites, les restrictions. Renouer avec la nature concrète du sol. Questionner la présence, l'absence, l'appartenance, les frontières, le territoire, le plein et le vide, les traces qu'on laisse: voilà à quoi œuvrent ces deux corps dans leur dialogue avec l'argile, l'eau vive, la terre nourricière. Terre humide et dense, terre sèche et volatile, terre-poussière, terre imaginaire.
Dans la prolongation des représentations tout public, la compagnie propose une installation-atelier, à la rencontre de la matière, des sensations qu'elle procure, des sons qu'elle produit.
16. May - 17. May
En sonorités et en mouvement, Alter fait vibrer la terre par l'entremise d'une danseuse et d'un musicien percussionniste qui, ensemble, font du plateau-laboratoire un paysage en constante transformation.
Avec sa compagnie Nyash, depuis 2005, Caroline Cornélis a à cœur de s'adresser aux enfants comme aux adultes, par des langages qui convoquent le sensible et attisent le lien. Elle a imaginé ici un dialogue sonore et sensitif entre une danseuse et un batteur sans batterie. Des villes, des sols, des reliefs naissent de leurs échanges, de leurs modelages.
Dépasser les limites, les restrictions. Renouer avec la nature concrète du sol. Questionner la présence, l'absence, l'appartenance, les frontières, le territoire, le plein et le vide, les traces qu'on laisse: voilà à quoi œuvrent ces deux corps dans leur dialogue avec l'argile, l'eau vive, la terre nourricière. Terre humide et dense, terre sèche et volatile, terre-poussière, terre imaginaire.
Dans la prolongation des représentations tout public, la compagnie propose une installation-atelier, à la rencontre de la matière, des sensations qu'elle procure, des sons qu'elle produit.
N° 90
Ce numéro propose un dossier sur le feed-back ou l’art du retour, des livres sur l’histoire de la danse et les entretiens de quatre chorégraphes sur leur processus créatif. Louise Vanneste, Louise Baduel, Arco Renz et Ikue Nagakawa nous révèlent leurs coulisses.
