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Nous sommes en l’an 3000 sur la Terre, et plus personne ne sait qu’un jour, les humains ont parlé, se sont raconté des histoires… Plus personne ne se souvient qu’ils ont su rire, danser, aimer… Aujourd’hui, les humains ne savent plus qu’une seule et unique chose : un jour, ils iront à noVLand.
Alors ils marchent, encore et encore, même s’ils oublient sans cesse pourquoi ils marchent, même s’ils ne savent plus pourquoi il faut aller à noVLand.
Mais tout de suite, sur la Terre, il vient de se produire quelque chose de totalement inattendu… Un événement qui pourrait changer à jamais le cours des choses.
25. Novembre
Nous sommes en l’an 3000 sur la Terre, et plus personne ne sait qu’un jour, les humains ont parlé, se sont raconté des histoires… Plus personne ne se souvient qu’ils ont su rire, danser, aimer… Aujourd’hui, les humains ne savent plus qu’une seule et unique chose : un jour, ils iront à noVLand.
Alors ils marchent, encore et encore, même s’ils oublient sans cesse pourquoi ils marchent, même s’ils ne savent plus pourquoi il faut aller à noVLand.
Mais tout de suite, sur la Terre, il vient de se produire quelque chose de totalement inattendu… Un événement qui pourrait changer à jamais le cours des choses.
L’univers coloré, fantasque et dissonant de la chorégraphe et plasticienne Miet Warlop se déploie dans After All Springville, où des personnages hybrides rappellent les dysfonctionnements du monde actuel.
25. Novembre - 26. Novembre
L’univers coloré, fantasque et dissonant de la chorégraphe et plasticienne Miet Warlop se déploie dans After All Springville, où des personnages hybrides rappellent les dysfonctionnements du monde actuel.
La pire des choses serait qu’il n’arrive rien.
Déplier, renverser la catastrophe comme un « c’est pas grave » du « c’est pas grave », déterrer le plaisir féroce du débordement, de l’effondrement, la tragédie, l’instant critique.
La vie est si sauvage qu’elle dévore l’ordinaire humain par ses irruptions cataclysmiques, un mélange de grave et d’aigu, de notes de joie comme de souffrance.
Dans l’œil du cyclone, Abuser du dérisoire pour contourner l’ironie du sort, créer un moment absurde de suspension et d’humour, trébucher juste au bord du désastre.
25. Novembre - 29. Octobre
La pire des choses serait qu’il n’arrive rien.
Déplier, renverser la catastrophe comme un « c’est pas grave » du « c’est pas grave », déterrer le plaisir féroce du débordement, de l’effondrement, la tragédie, l’instant critique.
La vie est si sauvage qu’elle dévore l’ordinaire humain par ses irruptions cataclysmiques, un mélange de grave et d’aigu, de notes de joie comme de souffrance.
Dans l’œil du cyclone, Abuser du dérisoire pour contourner l’ironie du sort, créer un moment absurde de suspension et d’humour, trébucher juste au bord du désastre.
Through the Grapevine est un pas de deux original entre deux hommes. Les artistes Alexander Vantournhout et Axel Guérin montrent leur corps dénué de tout artifice. Ils sont entraînés, mais loin d’être parfaits. Leurs corps d’athlète se heurtent aux limites physiques et ils découvrent les forces et les faiblesses de leur morphologie. La chorégraphie se joue de ces différences de proportions et de puissance physique. Ensemble, par un effort et une concentration intenses, les performeurs recherche l’équilibre et l’harmonie, sans pour autant manquer d’humour. Ils se mettent au défi et s’entraident, ils mènent la danse, un à un.
26. Novembre
Through the Grapevine est un pas de deux original entre deux hommes. Les artistes Alexander Vantournhout et Axel Guérin montrent leur corps dénué de tout artifice. Ils sont entraînés, mais loin d’être parfaits. Leurs corps d’athlète se heurtent aux limites physiques et ils découvrent les forces et les faiblesses de leur morphologie. La chorégraphie se joue de ces différences de proportions et de puissance physique. Ensemble, par un effort et une concentration intenses, les performeurs recherche l’équilibre et l’harmonie, sans pour autant manquer d’humour. Ils se mettent au défi et s’entraident, ils mènent la danse, un à un.
À la manière des gâteaux surprise qu’évoque son titre, Piñata Cake joue avec les attentes du public, et mise sur l’émerveillement – sans jamais se contenter du premier degré. Qu’elle soit soulignée ou détournée, la prouesse occupe le terrain, dans un enchaînement de mystère et de dévoilement, d’intime et de spectaculaire. Le divertissement se pique de danger. L’excès ou la retenue nimbent la joie d’ambivalence, dans un petit monde d’artifice et de sincérité.
26. Novembre - 28. Novembre
À la manière des gâteaux surprise qu’évoque son titre, Piñata Cake joue avec les attentes du public, et mise sur l’émerveillement – sans jamais se contenter du premier degré. Qu’elle soit soulignée ou détournée, la prouesse occupe le terrain, dans un enchaînement de mystère et de dévoilement, d’intime et de spectaculaire. Le divertissement se pique de danger. L’excès ou la retenue nimbent la joie d’ambivalence, dans un petit monde d’artifice et de sincérité.
À première vue, rien ne semblait prédestiner Mohamed El Khatib et Israel Galván à partager la scène. Ce n’est pourtant pas la première fois que le danseur se confronte à des artistes venu·es d’autres horizons – on se souvient de RI TE, son duo salué l’an dernier avec Marlene Monteiro Freitas au Kunstenfestivaldesarts. Mohamed El Khatib, quant à lui, n’en est également pas à son premier projet marquant. Il a déjà présenté La Vie secrète des vieux et Stadium au Théâtre National. Des œuvres qui revisitent le réel sous des angles inattendus. Il porte également le projet Maison Gertrude, un centre d’art implanté en maison de repos.
Sur scène, la puissance du flamenco dialogue avec une écriture intime. Tous deux s’accordent à creuser un sujet personnel et universel : la difficulté à se présenter tels qu’ils sont devant leurs pères. Malgré leur liberté artistique et leur reconnaissance, ils continuent à taire certains éléments de leurs vies à cel·leux qui les ont vus grandir. Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux. À travers des souvenirs revisités, ils interrogent avec humour la place des parents dans un parcours d’artiste.
26. Novembre - 30. Novembre
À première vue, rien ne semblait prédestiner Mohamed El Khatib et Israel Galván à partager la scène. Ce n’est pourtant pas la première fois que le danseur se confronte à des artistes venu·es d’autres horizons – on se souvient de RI TE, son duo salué l’an dernier avec Marlene Monteiro Freitas au Kunstenfestivaldesarts. Mohamed El Khatib, quant à lui, n’en est également pas à son premier projet marquant. Il a déjà présenté La Vie secrète des vieux et Stadium au Théâtre National. Des œuvres qui revisitent le réel sous des angles inattendus. Il porte également le projet Maison Gertrude, un centre d’art implanté en maison de repos.
Sur scène, la puissance du flamenco dialogue avec une écriture intime. Tous deux s’accordent à creuser un sujet personnel et universel : la difficulté à se présenter tels qu’ils sont devant leurs pères. Malgré leur liberté artistique et leur reconnaissance, ils continuent à taire certains éléments de leurs vies à cel·leux qui les ont vus grandir. Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux. À travers des souvenirs revisités, ils interrogent avec humour la place des parents dans un parcours d’artiste.
Dans ce spectacle inspiré de l’univers du peintre de la Renaissance allemande Lucas Cranach l’Ancien (1472-1553), des figures apparaissent comme dans des tableaux vivants. Des personnages hantés par la mémoire convulsive d’existences antérieures, dans une atmosphère dominée par le mystère de la présence.
27. Novembre - 29. Novembre
Dans ce spectacle inspiré de l’univers du peintre de la Renaissance allemande Lucas Cranach l’Ancien (1472-1553), des figures apparaissent comme dans des tableaux vivants. Des personnages hantés par la mémoire convulsive d’existences antérieures, dans une atmosphère dominée par le mystère de la présence.
Nous sommes en l’an 3000 sur la Terre, et plus personne ne sait qu’un jour, les humains ont parlé, se sont raconté des histoires… Plus personne ne se souvient qu’ils ont su rire, danser, aimer… Aujourd’hui, les humains ne savent plus qu’une seule et unique chose : un jour, ils iront à noVLand. Alors ils marchent, encore et encore, même s’ils oublient sans cesse pourquoi ils marchent, même s’ils ne savent plus pourquoi il faut y aller.
27. Novembre
Nous sommes en l’an 3000 sur la Terre, et plus personne ne sait qu’un jour, les humains ont parlé, se sont raconté des histoires… Plus personne ne se souvient qu’ils ont su rire, danser, aimer… Aujourd’hui, les humains ne savent plus qu’une seule et unique chose : un jour, ils iront à noVLand. Alors ils marchent, encore et encore, même s’ils oublient sans cesse pourquoi ils marchent, même s’ils ne savent plus pourquoi il faut y aller.
bron is een dansvoorstelling waarin verschillende generaties elkaar vinden. Op livemuziek van Thomas Devos zoeken de dansers naar wat hen verbindt en welke toekomst ze willen vormgeven. In een poëtische en beeldende bewegingstaal ontvouwt zich een nieuwe wereld, die een verlangen uitdrukt om ballast overboord te gooien en om thuis te komen.
bron is een nieuwe productie van Joke Laureyns en Kwint Manshoven. Ze maakten internationaal naam door op een unieke manier kinderen en volwassenen samen te brengen op de scène. Hun werk staat garant voor meeslepende voorstellingen: vurig en wild, aangrijpend en ook grappig. Na as long as we are playing, dat de spelende mens toonde, en promise me, dat de vrijheid en roekeloosheid vierde, is bron een ode aan de scheppende mens. Een voorstelling over de noodzaak van ‘maken’, over de mens als ‘maker’ en over de vraag naar de maakbaarheid van het leven. En dat vanuit een hernieuwd geloof in de kracht van gemeenschap.
27. Novembre - 29. Novembre
bron is een dansvoorstelling waarin verschillende generaties elkaar vinden. Op livemuziek van Thomas Devos zoeken de dansers naar wat hen verbindt en welke toekomst ze willen vormgeven. In een poëtische en beeldende bewegingstaal ontvouwt zich een nieuwe wereld, die een verlangen uitdrukt om ballast overboord te gooien en om thuis te komen.
bron is een nieuwe productie van Joke Laureyns en Kwint Manshoven. Ze maakten internationaal naam door op een unieke manier kinderen en volwassenen samen te brengen op de scène. Hun werk staat garant voor meeslepende voorstellingen: vurig en wild, aangrijpend en ook grappig. Na as long as we are playing, dat de spelende mens toonde, en promise me, dat de vrijheid en roekeloosheid vierde, is bron een ode aan de scheppende mens. Een voorstelling over de noodzaak van ‘maken’, over de mens als ‘maker’ en over de vraag naar de maakbaarheid van het leven. En dat vanuit een hernieuwd geloof in de kracht van gemeenschap.
Een heruitvinding van de dansregels, live op het podium
Met zijn nieuwste solo, Every-body-knows-what-tomorrow-brings-and-we-all-know-what-happened-yesterday, verkent Mohamed Toukabri een nieuw terrein waarin alles openligt en mogelijk is. Bekend om zijn unieke vermogen om te schakelen tussen werelden – van straat naar podium, van hiphop naar postmodernisme, van persoonlijk naar politiek – richt hij zijn choreografische blik nu op de essentie van dans zelf.
In zijn solo ontleedt Toukabri de hiërarchieën in ons lichaam en vraagt hij: wie mag op welke manier bewegen, en waarom? Het stuk creëert een ruimte waar danstradities in dialoog gaan, waarbij stijlen die ooit als ‘minderwaardig’ werden gezien, naast de klassieke canon staan. Foot work vloeit naadloos over in weight shifts, virtuositeit en kwetsbaarheid smelten samen. Dit is geen fusie, maar frictie én co-existentie. Een heruitvinding van de dansregels, live op het podium.
27. Novembre
Een heruitvinding van de dansregels, live op het podium
Met zijn nieuwste solo, Every-body-knows-what-tomorrow-brings-and-we-all-know-what-happened-yesterday, verkent Mohamed Toukabri een nieuw terrein waarin alles openligt en mogelijk is. Bekend om zijn unieke vermogen om te schakelen tussen werelden – van straat naar podium, van hiphop naar postmodernisme, van persoonlijk naar politiek – richt hij zijn choreografische blik nu op de essentie van dans zelf.
In zijn solo ontleedt Toukabri de hiërarchieën in ons lichaam en vraagt hij: wie mag op welke manier bewegen, en waarom? Het stuk creëert een ruimte waar danstradities in dialoog gaan, waarbij stijlen die ooit als ‘minderwaardig’ werden gezien, naast de klassieke canon staan. Foot work vloeit naadloos over in weight shifts, virtuositeit en kwetsbaarheid smelten samen. Dit is geen fusie, maar frictie én co-existentie. Een heruitvinding van de dansregels, live op het podium.
Gounouj – la grenouille en créole - c’est la foisonnante rencontre de la danse et de la nature. À l’origine, Léo Lérus a créé cette pièce pour le site de Gros Morne/Grande-Anse dans sa Guadeloupe natale. Un lieu protégé magnifique, aujourd’hui menacé.
Pour l’incarner devant nous, les quatre danseur·euses, s’appuient sur les rythmes Gwoka, une tradition musicale qui fusionne les percussions, le chant et le mouvement. Chacun·e au gré d’un rythme propre, ondule et compose un univers végétal où s’enchaînent équilibres, déséquilibres, sautillements et mouvements animaux.
Drapée d’un décor sonore palpitant de chants d’oiseaux et de cris de grenouilles, Gounouj résonne comme une ode puissante à la biodiversité. Un souffle d’espoir et de résis-tance pour ces fragiles écosystèmes en péril.
28. Novembre - 29. Novembre
Gounouj – la grenouille en créole - c’est la foisonnante rencontre de la danse et de la nature. À l’origine, Léo Lérus a créé cette pièce pour le site de Gros Morne/Grande-Anse dans sa Guadeloupe natale. Un lieu protégé magnifique, aujourd’hui menacé.
Pour l’incarner devant nous, les quatre danseur·euses, s’appuient sur les rythmes Gwoka, une tradition musicale qui fusionne les percussions, le chant et le mouvement. Chacun·e au gré d’un rythme propre, ondule et compose un univers végétal où s’enchaînent équilibres, déséquilibres, sautillements et mouvements animaux.
Drapée d’un décor sonore palpitant de chants d’oiseaux et de cris de grenouilles, Gounouj résonne comme une ode puissante à la biodiversité. Un souffle d’espoir et de résis-tance pour ces fragiles écosystèmes en péril.
Inhale Delirium Exhale, het meest recente werk van de Belgische kunstenares Miet Warlop, is een krachtige wervelwind van beweging. Vijf performers en 1.500 meter stof brengen menselijke angsten, verlangens en geheimen tot leven.
In de Griekse tragedies sprak het koor alles uit wat niet in woorden te vangen was. Miet Warlop brengt dit idee naar het heden en toont hoe verschillende mensen samen dansen, terwijl ze hun angsten en verlangens delen. Met honderden meters stof die glijden, botsen en elkaar omarmen, creëren de performers een krachtig geheel. Iedere danser behoudt zijn eigen stem, maar samen brengen ze een krachtige boodschap. Delirium laat zien hoe we, ondanks verschillen, met elkaar verbonden blijven, zelfs wanneer we elkaar niet altijd begrijpen.
28. Novembre
Inhale Delirium Exhale, het meest recente werk van de Belgische kunstenares Miet Warlop, is een krachtige wervelwind van beweging. Vijf performers en 1.500 meter stof brengen menselijke angsten, verlangens en geheimen tot leven.
In de Griekse tragedies sprak het koor alles uit wat niet in woorden te vangen was. Miet Warlop brengt dit idee naar het heden en toont hoe verschillende mensen samen dansen, terwijl ze hun angsten en verlangens delen. Met honderden meters stof die glijden, botsen en elkaar omarmen, creëren de performers een krachtig geheel. Iedere danser behoudt zijn eigen stem, maar samen brengen ze een krachtige boodschap. Delirium laat zien hoe we, ondanks verschillen, met elkaar verbonden blijven, zelfs wanneer we elkaar niet altijd begrijpen.
Vient de paraître
N° 91
Danser professionnellement implique de nombreux défis. De la sortie d’école à la fin de carrière, une vie de danse s’accompagne inévitablement de transformations du corps, instrument de travail unique et précieux, de moments charnières qui drainent, chacun, leur lot d’interrogations. Où étudier ? Comment entrer dans ce secteur artistique compétitif ? Jusqu’à quel âge peut-on danser ? C’est ce sujet que Nouvelles de Danse aborde pour sa livraison de rentrée. La diffusion de la danse sur le territoire wallon et à l’international est également au sommaire. La rubrique En Création, quant à elle, dévoile le travail de cinq chorégraphes et leur création à découvrir très prochainement.
